Est-ce bien censé cette scène à saisir les seins des saintes
sans consentement ?
lundi 15 juillet 2019
dimanche 7 juillet 2019
Le trophée de Diane
Marcus le Borgne dans
ses récits de voyage aux confins de l’Empire décrit les coutumes d’une tribu
d’amazone qui régnait sur un ancien fief sans descendance mâle.
« Elles ont comme
coutume avant le solstice d’été, en usant de leurs charmes, d’attirer des
hommes jeunes. Après plusieurs jours de festins, elles profitent de l’état
d’ébriété dans lequel les ont plongés un vin aphrodisiaque pour abuser d’eux.
Jeunes et vielles se trémoussent alors sans retenu sur les vis gonflés
chargeant leur vagin à ras de tout le sperme disponible.
Avant que le jour ne
se lève au-dessus de l’horizon, les femmes, silencieusement et d’un même
ensemble, entraves de liens de cuir les hommes endormis. Traînés hors des habitations
sans ménagement, les traînards harcelés de coups de piques et d’injures, les
hommes sont rassemblés au milieu d’une place circulaire.
Des croix sont
dressées sur les bords de cette aire dessinant un cercle parfait auquel aucun
géomètre ne pourrait reprocher des irrégularités. Encore ivre et sans
résistance, chaque homme est entravé avec soin à une croix par les femmes qui,
leurs besognes terminées, tracent avec une peinture blanche ou rouge une cible
sur les torses nus à l’emplacement du cœur.
Les amazones, munies
d’arcs et de flèches, rejoignent le centre de la place et se placent
chacune face à une croix. Elles attendent dans un silence étouffant un
signal. Une petite fille nue apparaît et arpente lentement le tour de la place.
Devant chaque croix, elle exécute quelques pas de danse tout en grâce légère
dont elle seule connaît la signification. Après cet étrange ballet, elle
s’allonge délicatement au sol. Un petit geyser venu de son pubis illumine alors
la scène d’un arc en ciel urinaire qui donne le signal de bander les arcs.
Lorsque la fillette poussa un hurlement inaudible, le sifflement des flèches et
les cris des hommes se mêlèrent dans un chant cacophonique. »
Marcus dans son récit
précise que, aucun homme ne survivant à ces rituels, on ne sait à quel usage
les femmes destinés les corps. Mais, peut-on prêter foi au récit de
Marcus ?
Ne fut-il pas brûlé
vif au début de l’ère chrétienne pour conduite immorale ?
samedi 29 juin 2019
mercredi 12 juin 2019
RELIQUAIRE
Reliquaire ayant appartenu pendant des siècles à la Famille
De M…..
Détenu aujourd’hui par le Dr F…. dans son cabinet de curiosités.
Il était de tradition dans cette illustre maison De M. que
les descendants mâles (sauf l’aîné) embrassent la voie ecclésiastique. Ils
intégraient à l’âge de la puberté l’Ordre le plus hermétique, celui des S… . Cette congrégation
monastique perpétuait une tradition que Pline le Fou décrit dans ses
Pseudo-Mémoires : « A l’exemple des ascètes du désert, les moines
avaient pour règle de se transpercer le sexe avec un clou qu’ils laissaient en
place. La plaie ne pouvant cicatriser rendait terriblement douloureux toute
tentative de se masturber. L’Ordre fut
dissout à la Restauration lorsque de nombreux cas de disparitions d’enfants
dans les villages proches du monastère leurs furent attribuer ».
jeudi 6 juin 2019
lundi 3 juin 2019
vendredi 31 mai 2019
dimanche 26 mai 2019
mardi 21 mai 2019
dimanche 12 mai 2019
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