Dans le parc du
château de la Baronne de R.,
les statues plongées dans leurs rêves lubriques
attendent les visiteurs.
On érige des monuments hérissés de statues la bouche ouverte
par l’ignorance de leur condition et les organes reproducteurs voilés par peur
d’être dérobés. Nymphes et chérubins privés du plus élémentaire plaisir de la
reproduction du même se vengent. Fientes et urines sont exclues des salons ou
se promènent les gourmets de l’occlusion intestinale. L’arrière et l’avant ont
des limites saturées par des rêves concupiscents qui nécessitent l’intervention
« manu militari » de la censure.